Un journaliste derrière la porte.
Je me souviens d'un soir ou nous étions en pleine répétition, chez Steph, et ou "tonton et sa femme étaient présents.
Lorqu'un homme a été surpris par les filles à nous écouter derrière la porte. Il s'agissait en fait d'un journaliste qui parcourait la France à vélo.
Après quelques clics sur le net, j'ai retrouvé l'article que "Raphaël Krafft, avait écrit lors de notre rencontre dans sa chronique quotidienne dans les matins de France Culture.
Voilà ce qu'il a écrit.
31 mai 2007 : Lignières - Bourges, 55 km
De Lignières, j'ai pris la direction du nord-ouest pour retrouver le cours de la rivière Cher que j'ai descendu pendant une dizaine de kilomètres avant de me rendre compte que j'avais confondu St-Florent-sur-Cher avec Charenton-du-Cher où se tenait hier un meeting politique. J'ai donc dû improviser : j'ai pris la direction, du nord, de Bourges, traversé d'interminables champs de blé avant de pénétrer dans la capitale du Berry sans savoir où j'allais dormir.
Quelques centaines de mètres plus tard, j'ai entendu le vacarme d'une répétition d'un groupe amateur qui interpétait « toute la musique que j'aime ». Je me suis arrêté pour enregistrer l'ambiance sonore qui se dégageait du pavillon.
Les enfants m'ont surpris. On m'a fait entrer, servi une bière, invité à dîner. Et j'ai terminé dans le clic-clac du salon de la famille Rzepecki.
> la chronique de Raphaël Krafft